Les membres

les agences spatiales

L’ESA, L’AGENCE SPATIALE EUROPÉENNE

L’Agence spatiale européenne, ESA, est une organisation intergouvernementale, créée en 1975, qui assure la mise en commun des ressources de ses Etats membres pour le développement des capacités spatiales de l’Europe. Elle peut ainsi entreprendre des programmes et des activités dont l’envergure dépasse largement ce que chaque pays européen pourrait faire seul.
L’ESA développe les lanceurs, véhicules spatiaux et installations sol dont l’Europe a besoin pour rester à la pointe des activités spatiales au niveau mondial. Elle met en orbite des satellites d’observation de la Terre, de navigation, de télécommunications et d’astronomie ; elle envoie des sondes aux confins du système solaire et coopère à l’exploration humaine de l’espace.
L’ESA compte 20 États membres. Le Canada participe à certains programmes dans le cadre d’un accord de coopération.

LE CNES, L’AGENCE SPATIALE FRANÇAISE

Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), le Centre national d’études spatiales, CNES, est chargé de proposer au gouvernement français la politique spatiale de la France au sein de l’Europe et de la mettre en oeuvre.
À ce titre, il conçoit les systèmes spatiaux du futur, maîtrise l’ensemble des techniques spatiales, et garantit à la France l’accès autonome à l’espace.
Acteur majeur de l’Europe spatiale, le CNES est force de propositions pour maintenir la France et l’Europe dans le peloton de tête de la compétition mondiale et assure la participation de la France aux programmes de l’Agence spatiale européenne.
Le CNES s’entoure de partenaires scientifiques et industriels avec lesquels sont réalisés les programmes spatiaux qu’il conçoit. Il est engagé dans de nombreuses coopérations internationales, indissociables de toute politique spatiale d’envergure.

LE CNES, L’AGENCE SPATIALE FRANÇAISE

Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), le Centre national d’études spatiales, CNES, est chargé de proposer au gouvernement français la politique spatiale de la France au sein de l’Europe et de la mettre en oeuvre.
À ce titre, il conçoit les systèmes spatiaux du futur, maîtrise l’ensemble des techniques spatiales, et garantit à la France l’accès autonome à l’espace.
Acteur majeur de l’Europe spatiale, le CNES est force de propositions pour maintenir la France et l’Europe dans le peloton de tête de la compétition mondiale et assure la participation de la France aux programmes de l’Agence spatiale européenne.
Le CNES s’entoure de partenaires scientifiques et industriels avec lesquels sont réalisés les programmes spatiaux qu’il conçoit. Il est engagé dans de nombreuses coopérations internationales, indissociables de toute politique spatiale d’envergure.

Agenzia Spaziale Italiana (ASI)

Créée en 1988, l’Agenzia Spaziale Italiana (ASI) a été conçue pour financer, réglementer et coordonner les activités d’exploration spatiale en Italie.
L’agence coopère avec différentes entités nationales et internationales actives dans la recherche et la technologie aérospatiales, telles que l’Agence spatiale européenne (ESA) et l’industriel Avio.
Aujourd’hui, l’Agence spatiale italienne joue un rôle de premier plan tant au niveau européen, où l’Italie est le troisième plus grand contributeur à l’Agence spatiale européenne, qu’au niveau mondial.
A travers le travail de l’ASI et de l’industrie italienne, l’Italie perpétue une tradition de recherche dans le domaine de la propulsion des engins spatiaux, notamment en tant que leader du programme européen VEGA, la petite fusée conçue en Italie.

PORT SPATIAL DE L'EUROPE, LES LANCEURS

Depuis 1979, les lanceurs développés par l’Agence spatiale européenne, ESA, permettent à l’Europe de disposer d’un accès indépendant à l’espace, depuis le Centre Spatial Guyanais, CSG, Port spatial de l’Europe. Les versions successives d’Ariane, exploitées depuis plus de 30 ans au CSG, s’appuient aujourd’hui sur le lanceur lourd Ariane 5 (10 tonnes d’emport en orbite de transfert géostationnaire (GTO) et près de 20 tonnes sur l’orbite terrestre basse (LEO) où évolue la Station spatiale internationale). Ariane a été rejointe en 2011 par le lanceur moyen Soyouz (3,2 tonnes en GTO), dans le cadre d’une coopération avec la Russie, et en 2012 par le lanceur léger Vega (1,5 tonnes en LEO). Cette gamme de lanceurs est désormais capable d’atteindre toutes les orbites et de lancer tous types de missions.
Soucieux de renforcer les compétences industrielles dans le secteur des lanceurs, les Etats membres de l’ESA ont décidé de poursuivre le développement d’Ariane 5 ME adaptée, version plus performante du lanceur Ariane 5 actuel, et d’engager le développement d’un lanceur de nouvelle génération, Ariane 6, qui permettra à l’Europe de conserver sa position de n°1 mondial.

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PORT SPATIAL DE L'EUROPE, LES LANCEURS

Depuis 1979, les lanceurs développés par l’Agence spatiale européenne, ESA, permettent à l’Europe de disposer d’un accès indépendant à l’espace, depuis le Centre Spatial Guyanais, CSG, Port spatial de l’Europe. Les versions successives d’Ariane, exploitées depuis plus de 30 ans au CSG, s’appuient aujourd’hui sur le lanceur lourd Ariane 5 (10 tonnes d’emport en orbite de transfert géostationnaire (GTO) et près de 20 tonnes sur l’orbite terrestre basse (LEO) où évolue la Station spatiale internationale). Ariane a été rejointe en 2011 par le lanceur moyen Soyouz (3,2 tonnes en GTO), dans le cadre d’une coopération avec la Russie, et en 2012 par le lanceur léger Vega (1,5 tonnes en LEO). Cette gamme de lanceurs est désormais capable d’atteindre toutes les orbites et de lancer tous types de missions.
Soucieux de renforcer les compétences industrielles dans le secteur des lanceurs, les Etats membres de l’ESA ont décidé de poursuivre le développement d’Ariane 5 ME adaptée, version plus performante du lanceur Ariane 5 actuel, et d’engager le développement d’un lanceur de nouvelle génération, Ariane 6, qui permettra à l’Europe de conserver sa position de n°1 mondial.

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